Le Togo de la cinquième république vue par José Amoussou, Pdt de CJUR Togo
La proclamation de la Cinquième République au Togo continue de susciter des réactions à travers le pays. Parmi les voix qui se distinguent sur la scène nationale, celle de José Amoussou, président de la Coalition Jeunesse Unie pour le Renouveau (CJUR-Togo), retient particulièrement l’attention. Ce dernier salue avec enthousiasme l’avènement de cette nouvelle République, qu’il qualifie de « fondation solide pour une gouvernance plus concertée, inclusive et résolument tournée vers l’avenir ».

Une Constitution porteuse d’espoir pour l’économie et le social
Pour José Amoussou, la Cinquième République ouvre de nouvelles perspectives de progrès, notamment sur les plans économique et social. Il souligne que la stabilité institutionnelle qu’elle instaure est de nature à rassurer les investisseurs nationaux et internationaux. « La prévisibilité politique est un facteur-clé pour l’attraction des capitaux, la création d’emplois et la stimulation de la croissance », affirme-t-il. Il y voit une occasion de renforcer la lutte contre la pauvreté, de moderniser les infrastructures de base et d’accélérer l’industrialisation du pays.
Sur le plan social, le président de la CJUR-Togo estime que cette nouvelle étape constitutionnelle permettra d’approfondir les politiques publiques en faveur de la jeunesse, des femmes, et des couches vulnérables. Il plaide pour un renforcement du dialogue entre l’État et la société civile afin de mieux orienter les priorités de développement. « Nous devons saisir cette opportunité pour construire un Togo plus équitable, où chacun trouve sa place dans la dynamique nationale », insiste-t-il.
Une gouvernance ouverte, fondée sur la concertation
L’un des points les plus salués par José Amoussou est l’ouverture qu’offre la Cinquième République en matière de gouvernance. En instaurant de nouveaux équilibres institutionnels, cette Constitution favorise, selon lui, un meilleur partage des responsabilités, une transparence accrue dans la gestion des affaires publiques et une plus grande redevabilité des dirigeants. « Il s’agit désormais d’un modèle où les décisions majeures doivent s’appuyer sur le consensus, sur l’écoute des différentes sensibilités politiques et sociales », affirme-t-il.
Il lance ainsi un appel solennel à l’ensemble des acteurs politiques, économiques et de la société civile pour qu’ils accompagnent cette nouvelle dynamique. « Nous devons cesser les divisions stériles. La Cinquième République est une chance historique pour notre pays. Donnons-lui une chance, expérimentons-la ensemble », exhorte-t-il.
Un appel à l’unité nationale et à la mobilisation internationale
Conscient des défis qui restent à relever, José Amoussou n’en reste pas moins optimiste. Il voit dans cette nouvelle République un catalyseur pour la paix durable, la cohésion nationale et la souveraineté renforcée du Togo sur la scène internationale. Il invite les partenaires au développement à continuer de soutenir le pays dans cette transition qu’il qualifie de « démocratique et constructive ».
« Le Togo d’aujourd’hui n’est plus celui des incertitudes d’hier. Avec cette nouvelle Constitution, nous avons les outils pour bâtir un État moderne, stable, et tourné vers l’avenir. C’est notre devoir, en tant que citoyens engagés, de porter ce projet commun avec responsabilité et espoir », conclut José Amoussou.
À travers cette prise de position, le président de la CJUR-Togo se fait le porte-voix d’une jeunesse togolaise aspirant à un avenir meilleur. Sa déclaration vient rappeler que la réussite de cette Cinquième République dépendra avant tout de la capacité de tous les Togolais à se rassembler autour des idéaux de paix, de justice et de développement partagé.
Cécile DOLEME