La gent féminine dans les meilleures conditions d’épanouissement au Togo

Depuis quelques années déjà les dirigeants togolais sont rompus à la tâche pour mettre dans de meilleures conditions la gent féminine. Ainsi plusieurs mécanismes innovants et salvateurs sont déjà actifs sur le territoire. Ils impactent les bénéficiaires de façon significative.

Le bien-être des Togolaises n’a pas de prix. Le chef de l’État Faure Gnassingbé veut un pays où les chances soient égales et que les mêmes droits soient acquis par les citoyens. 

La liste est longue. Cela témoigne à bien des égards que le sort des femmes préoccupe les gouvernants. Pour promouvoir leur leadership, une discrimination positive est observée, avec des citoyennes de plus en plus nommées à des postes de grande responsabilité. 

Aujourd’hui, les postes de président de l’Assemblée nationale et de Premier ministre sont occupés par des femmes, sans oublier le nombre élevé de femmes présentes dans le gouvernement.

Depuis quelques années, les frais de scolarité des filles sont supprimés. Ils reviennent à la charge de l’État qui s’occupe de les payer. L’idée est de maintenir la jeune fille à l’école jusqu’à l’université au moins et lui donner une chance de continuer ses études supérieures.

Justement, le Programme d’excellence des femmes en Afrique (Pefa) a été mis en œuvre. Il offre l’opportunité aux citoyennes compétentes ayant au minimum une licence universitaire de suivre des formations, d’acquérir des compétences professionnelles transversales dans d’autres domaines et in fine, de pouvoir s’insérer sur le marché de l’emploi décent.

En effet pour aider ces femmes à s’autosuffir, des crédits pour les entrepreneures a été mis en place. C’est là que le Fonds national de la finance inclusive (FNFI) intervient. De 2014 à ce jour, plus de 106 milliards de francs CFA de crédits ont été distribués à 1,8 million de bénéficiaires pour un taux de remboursement supérieur à 94%. Le FNFI dispose de plusieurs crédits variés qui sont chacun adaptés à une catégorie de couche sociale précise. L’aide leur permet de monter des affaires, d’être financièrement autonomes et socialement indépendantes.

Les femmes ont accès aux soins de santé de qualité et à moindre coût. Celles qui sont enceinte l’ont encore plus. Spécialement pour elles, le programme de protection sociale Wezou a été lancé. Il prend en charge la femme enceinte (depuis le début de la grossesse jusqu’à l’accouchement) et le nouveau-né. On dénombre 1 316 113 prestations sur la période d’août 2021 à décembre 2022, dont 281 796 consultations prénatales et 148 275 accouchements.

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