L’engagement de José Amoussou face à l’autonomisation des chefs traditionnels au Togo
Les sociétés traditionnelles africaines sont gouverné par le systèmes politiques le plus courants, la chefferie traditionnelle. Cette gouvernance coutumière joue un rôle prépondérant dans la construction d’une nation forte.
Cependant, à bien d’égards, la chefferie traditionnelle suscite aujourd’hui la convoitise au regard de l’importance que le pouvoir central lui accorde. Une motivation nourrit par l’expression des collectivités qui réclament à tort ou à raison sa paternité laissant un long moment de règlement de différend entrainant la vacance du trône dont les charges sont conduites par un régent.
Aujourd’hui des associations ou organismes de la société civile se mobilisent pour lui donner sa pleine autonomisation. C’est le cas
de la Coalition Jeunesse Unies pour un Renaissance.
« Nous allons relancer le problème de la chefferie au Togo. Gage de la cohésion sociale et le bon vivre entre nos communautés » a relevé José Amoussou, président de la coalition Jeunesse Unie pour la Renaissance.
Il s’engage à apporter son expérience au service de des populations à la base. Ainsi plusieurs propositions seront prises pour régler ce problème de la chefferie au Togo, s’est-il engagé.
En effet au regard de son rôle, combien important dans nos sociétés, et ses problèmes sous-jacentes, le Président de Coalition Jeunesse Unies pour un Renaissance M. José Amoussou en fait une préoccupation. Il pose un diagnostic sévère qui part du rôle de la chefferie traditionnelle et un appel lancé au Président de la République Faure Essozimna Gnassingbé et au ministre de l’administration territoriale de l’urgence que revêt la nécessité d’apporter des solutions aux cantons et villages en attente.
Selon lui, le chef traditionnel a pour mission de veiller sur sa population tout en servant de courroie de transmission entre elle et l’administration centrale. Il assure la police rurale. C’est un conciliateur, en matière foncière, il est incontournable.