L’inclusion  sociale en faveur des couches vulnérables, une volonté affichée du gouvernement togolais ;José Amoussou, président de CJUR Togo très   admiratif de son VO natal

L’Etat attache depuis plusieurs années du prix à l’inclusion sociale. Une volonté qui se traduit par des mécanismes destinés à l’autonomisation financière des populations vulnérables. Comme dans les années antérieures, des étapes ont été franchies a fait remarquer le président de la Coalition Jeunesse Unies(CJUR) M.José Amoussou. C’est à n’en point douter l’un des axes accrocheurs parmi l’armada de réalisations du gouvernement togolais porté par le premier ministre Victoire Dogbé.

Revenant sur cette approche dont tous les togolais sans distinction peuvent unanimement s’accorder. José Amoussou revient par l’entremise de certains axes factuels identifiés dans son Vo natal et interpelle la jeunesse à jeter un regard dans le rétroviseur et magnifié le gouvernement. Selon lui, le milieu rural occupe une place prépondérante dans la sphère de production, surtout avec le secteur agricole qui se révèle être aujourd’hui un axe important de relance économique. Un secteur dont lui -même est un ardent féru. Mais le monde rural fait face le plus souvent à des contraintes dont le déficit d’accès à l’énergie ; ce qui constitue un obstacle à l’implantation des outils modernes de transformation des produits agricoles, donc une limite pour les possibilités de développement des technologies post-récolte. Il fait remarquer que cette limite est désormais derrière nous. La plus part des milieux ruraux au Togo et particulièrement son Vo natal a un approvisionnement en électricité des plus avancés au Togo. ‘’Les actions sociales sont impactantes au Togo’’ dit-il souvent.

José Amoussou pdt de CJUR Togo

 C’est grâce à une  orientation politique affichée du Chef de l’Etat Faure Gnassingbé, ce visionnaire panafricaniste qui fait de la lutte contre la pauvreté son ardent cheval de bataille. Ces passages de l’une de ses interventions sur le sujet continue par raisonner dans les oreilles comme si c’était hier ;’’

  « Dans un futur proche, quand on dit je vis au Togo, que ce soit à Sokodé, à Blitta, à Anecho (sic) , à Kara, à Dapaong, cela voudrait dire que j’ai l’eau, je me soigne, je vais à l’école, j’ai l’électricité. C’est cette stratégie que nous sommes en train de dérouler. » .Ce futur proche est actuel selon José amoussou qui estime que les lignes ont beaucoup bougées.

Conformément à la feuille de route gouvernementale Togo 2025, d’influents projets ont été mis en œuvre. Ils touchent la promotion de l’action sociale, la protection de l’enfant, le genre et l’encouragement de la femme, l’alphabétisation et l’éducation non formelle et j’en passe a-t-il relevé.

Par ailleurs, 300 000 Togolais ont bénéficié des mesures prises en matière de lutte contre les vulnérabilités des personnes en situation de handicap et des personnes âgées, d’assistance aux malades indigents, aux personnes victimes de catastrophes. Sur cet aspect, José Amoussou dans sa solidarité légendaire a fait parler de lui dans plusieurs localités victimes d’inondations. Vivres et non vivres ont été toujours au rendez-vous.

Les Filets sociaux et services de base (FSB), la construction des infrastructures marchandes et les mécanismes d’appuis disponibles pour les commerçantes, la quote-part des marchés publics réservée aux femmes, les efforts d’amélioration de l’accès des femmes aux terres agricoles, etc. sont assez évocateurs de cette propension.

 Il encourage le gouvernement à continuer davantage par renforcer la démocratie, l’Etat de droit et la bonne gouvernance. Poursuivre la transformation structurelle de l’économie nationale, poursuivre l’amélioration du bien-être social des populations.

 Il termine son naratif en faisant remarquer que préserver l’inclusion et la cohésion nationale, aider les citoyens les plus fragiles à mieux vivre tout en promouvant leur autonomie est un gage de développement.

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