Jour 1 du CILF, le président du comité d’organisation Me Afzal-Amir Ayeva fait le point

A la fin de la première journée de la Conférence internationale de Lomé sur le financement (CILF).Une conférence qui scrute les grandes lignes du financement avec des thèmes aussi alléchants les uns que les autres.Le président du comité d’organisation ,Me Afzal-Amir Ayeva fait le point avec les médias.

 « Bien sûr qu’il y a de l’espoir. Il faut qu’on arrête de s’auto-conditionner et de dire qu’en Afrique il n’y a pas d’espoir. Et s’il n’y a pas d’espoir, il faut que nous-mêmes on crée cet espoir. Je suis sûr qu’après la CILF, des propositions concrètes, des réformes seront mises en place avec le soutien de la plus haute autorité du pays qui, par sa vision, s’est toujours montré réceptif à tout ce qui touche à la jeunesse, aux femmes et au secteur financier », s’enthousiasme Afzal-Amir Ayeva.

Me Afzal-Amir Ayeva,president du comité d’organisation

Pour que cet espoir se concrétise dans les faits, il y a des sillons à tracer. Me Afzal-Amir Ayeva recommande aux entreprises et porteurs de projets d’ avoir en amont un certain nombre d’atouts avant la recherche du financement.
Il s’agit notamment « de la psychologie, de la compétence et de l’ambition ». Aussi, ajoute t-il, « il faut sortir du calquant du simple financement bancaire en allant chercher des modes alternatifs de financement tels que le financement en capital investissement propre et adapté aux réalités de l’Afrique, la recherche des business Angels et des partenariats public-privés (PPP) qui s’adressent plus aux grands projets ».

Selon le président d’organisateur,« La journée d’aujourd’hui sera dans le même élan qu’hier. Cette deuxième  journée  va aborder d’autres thématiques et certain nombre d’informations sur le secteur informel et surtout de l’agriculture ».

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